Elisabeth et James Pearl étaient deux nobles de la trentaine qui état marié depuis une douzaine d’années, le couple s’aimait. Ils n’avaient qu’un seul objectif dans la vie, avoir plusieurs enfants. Une fille ainée qui se marierait avec le fils de leurs meilleurs amis, un fils cadet qui reprendrait leur fortune, un second fils qui deviendrait soldat et un dernier qui deviendrait prêtre. Mais tout ne ce passa pas comme prévus. Elisabeth était une femme stérile. Après maints essais, maintes techniques insolites du docteur, le couple désespérait un jour avoir un enfant. Alors que leur couple commençait à battre de l’aille, lors d’un diner chez les voisins, une solution leur fus proposé : la magie. Les deux amoureux furent d’accords sur le : non. Puis une semaine plus tard James remit le sujet sur le tapis, après de longue disputes Elisabeth cessa à son mari d’aller rendre visite au sorcier. Ils pénétrèrent dans la lugubre demeure du sorcier, ils durent patienter un long moment avant que celui-ci ne vienne les accueillir. Il était fortement âgé et semblait affaiblis par l’âge, il écoutait avec attention leur problème et leur fit la proposition suivante : Une potion qu’il avait conçu en sa jeunesse dans le but d’avoir un héritier de son pouvoir immense qui c’était quelque peu essoufflé avec l’âge à force de rester caché ici. Si la jeune femme buvait la potion, elle tomberait enceinte du sorcier. Horrifié le couple s’en alla de chez le sorcier, hors de question d’accepter pour James ! Des mois s’écoulaient, et le couple essayait encore et encore. Un jour, James partait à la chasse, et Elisabeth retourna voir le sorcier, elle le trouva et en larme lui demandait sa potion miraculeuse. Le sorcier la lui céda sans contre partie, heureux qu’il y aurait un hérité de sa personne même si elle ne porterait pas son nom. La femme s’enfui et avala le flacon tout rond. Elle tombait enceinte, James fut le plus heureux des ignorants et ils amendèrent l’heureux événement avec impatience qui s’appellerait : Calliope. Neuf mois plus tard, ma mère me donna vit dans d’atroce souffrance, elle fut heureuse. Mon père également. Je grandissais à peu prés comme n’importe quelle noble, avec un caractère bien trempé, intrépide et hautaine. Ma bonne me détestait, me disait trop pourrie, trop gâtée, trop folle. Elle me frappait sans arrêt, et je sentais dés l’âge de 5 ans que j’étais différente, que j’étais puissante. La reine de cette demeure. J’avais 8 ans quand mon père est mort et ça ne m’avait pas fait de peine, ma mère semblait soulagé jusqu'à ce jour, elle pensait que la potion n’avait pas d’effets sur moi et que je n’étais pas une sorcière comme j’aurais du l’être. Elle fut profondément chagrinée par le décès de son mari, mais au fond elle se disait qu’elle n’était pas seule car j’étais là.

Mais voila, ce qu’elle ignorait, c’était que je passais des heures dans ma chambre à m’amuser à créer des objets, de la pluie, de la neige, toutes sorte de choses improbables... Je m’en étais aperçut très jeune et je n’avais jamais été effrayé par ce don d’illusion, je trouvais que c’était normal que je sois ainsi. Mais j ne voulais pas effrayer les autres alors je me cachais. Après le décès de ma mère, je m’en servais contre cette idiote de bonne pour la rendre complètement chèvre, c’était je devais l’avouer amusant... Un jour, celle-ci vient pour me battre avec son rouleau à pâtisserie, c’est avec colère que j’hurlais de toutes mes forces avant même qu’elle ne me toucha, ma mère entra dans la pièce quand je réduisais la pauvre chose en cendres. Ma mère resta horrifiée devant moi, je n’avais que 8 ans, et j’avais déjà tué quelqu’un... Elle fondit en larme et me prit dans ses bras, je me sentais quelque peu coupable de ce que j’avais fait, je n’aimais plus tout ça... Alors jusqu'à mes 13 ans, je m’interdisais de me servir de la magie, et parfois cela prenait le dessus de ma personne et je faisais quelque petits accidents mineurs. Ma mère fut ravie de me voir devenir une jeune fille, brune aux longs cheveux bouclés, la peau blanche, une vraie petite noble. Puis à l’âge de 17 ans, ma mère me présenta à un jeune homme qui était mon « promis ». Je restais plus ou moins polie lors de notre rencontre, une fois rentré dans le manoir, je m’écriais que je ne voulais pas me marier avec ce nabot ! Ma mère me fit m’assoir sur le divan et me raconta toute l’histoire. Je ne fus pas en colère, je savais que j’étais spécial et que ça ne devait pas venir de cette gourde qui me servait de mère... Je l’observais et j’acceptais de ma marier avec ce jeune homme. Mais cette nuit là, je fuguais pour me rendre chez le sorcier...

Il n’était pas là, j’explorais les lieux et je trouvais là tout un laboratoire, une bibliothèque de livres poussiéreux au contenu assez inquiétant, je trouvais également el journal intime de mon père biologique et je le lisais, je découvrais ses expériences, ses ambitions de permettre à la sorcellerie de dominer le monde, cette idée me plut, ses arguments étaient fort. Puis la dernière page fut saisissante, c’était une lettre qui m’étais adressé, il savait que je reviendrais, un médium lui avait dit. Il m’annonçait être fier de moi, et qu’il espérait que je reprendrais le flambeau, je voulus apprendre toutes ses technique, tout ses pouvoirs et il s’avérait que j’étais très doué. Je vivais dans la pauvreté, j’étais sale, la lumière du soleil m’étais devenue presque inconnue, je restais là, pendant vingt ans à m’entrainer, à apprendre ce qu’il avait apprit en 50 ans je l’avais ingurgité en 20 ans, ma soif de pouvoir grandissait et la solitude me dévora la raison et me rendait complètement folle sans âme. Alors, c’est ainsi qu’à l’âge de 38 ans, je fis mon retour dans la ville où j’ai grandie. Je découvrais là, un manoir abandonné, tout le monde me montrait du doigt et lorsque je me présentais personne n’en croyait ses yeux. Je m’installer dans ma nouvelle maison, je rangeais, fis venir mes livres, transforma la chambre de mes parents en immense laboratoire caché, je transformais le grenier en bibliothèque où personne ne pouvait accéder. Garder le secret était important pour survivre dans ce monde où prône la chasse aux sorcières... Et maintenant que je suis seule dans cette vaste demeure, de nombreux hommes viennent me faire la cour dans l’espoir de récupérer cette vaste fortune laissé à l’abandon, la vie sociale n’était plus mon truc désormais... La seule chose qui m’intéressait, était de dominer ce monde pour peut-être le plonger dans le chaos...